Libreville,( agence de presse la plume de l’info.com)- Les opposants gabonais ont été reçu, ce vendredi, dans l’enceinte du sénat comme des malpropres par un dispositif de la gendarmerie nationale, qui les ont empêché de rencontrer la Présidente du sénat pour lui dire qu’ils manifestaient leur mécontentement, et dénoncé en même temps la modification du code électoral qui vient changer les règles à la veille de l’élection présidentielle.
Cette modification qui a eu lieu nuitamment et en catimini, pour changer le bulletin à coller, et ramener l’ancien système qui consiste à mettre dans l’enveloppe rien que le bulletin du candidat choisi et les autres bulletins pourraient sortir avec les électeurs afin de prouver leur fidélité à leur candidat, mais aussi, et surtout pour qu’ils soient payés .
Les leaders des partis politiques de l’opposition ont saisi la cour constitutionnelle pour annuler l’adoption de cette loi votée par les parlementaires. Ils ont dénoncé un recul démocratique au Gabonais, après les accords d’Arambo de 2006 entre la majorité et l’opposition qui avaient été conduites par feu Président de l’Union du Peuple( UPG). C’est grâce à Pierre MAMBOUNDOU que les enveloppes à collées, et les procès verbaux avaient été obtenus, cette avancée significative vient d’être “émueté” par les pédégistes.