Fin de la caravane de sensibilisation de sciences et de technologies aux différents élèves
Libreville,( agence de presse la plume de l’info.com)- La caravane de sensibilisation de femmes et filles de sciences et de technologies qui a débuté le 8 février à travers les six établissements sillonnés en trois jours, a connu un francs succès, dont les élèves se sont massivement mobilisés pour s’imprégner des différentes métiers liés aux sciences qui s’est achevée, ce samedi à Libreville.
L’initiateur de ce projet intitulé «Top Sciences», a profité de la célébration de la journée internationale des femmes et des filles de sciences qui a été adoptée par l’Assemblée Générale des Nations Unies afin de promouvoir l’accès et la participation pleine et équitable des femmes et des filles à la science.
Cette journée permet de rappeler que les femmes et des filles jouent un rôle essentiel dans la communauté scientifique et technologique et que leur participation doit-être renforcer.
«Nous arrivons au terme d’une caravane longue de trois jours qui a commencé le 8 février. Nous sommes sur le terrain, nous avons en gros sillonné six établissements en raison de trois établissements par jour. Et l’engouement que nous avons pu rencontrer lors de nos différentes rencontres était intéressant et y avait beaucoup d’enthousiasme», a déclaré le
Président top sciences Hervé Georges Nkona Okouma.
Également ils se sont rendus compte que les filles s’intéressaient aux sciences, qu’il ya plus des filles dans les séries scientifiques que les hommes, la tendance est en train de se renverser.
Ils ont proposé qu’il serait bien que les élèves puissent effectuer des stages dans des structures scientifiques. Mais aussi, ils cherchent à vulgariser la science, amener le plus grand nombre à s’intéresser aux sciences pour un développement du pays.
Le Président de top sciences a souligné que le seul bémol qu’ils ont constaté qu’après le lycée la tendance se renverse les filles disparaissent pour des raisons diverses.
«Donc la, c’est le projet de challenge, c’est de comprendre pourquoi après le lycée, pourquoi ce boulot d’étranglement», a-t-il martelé.
