La mairie de Libreville offre des kits alimentaires et vestimentaires à la prison centrale et à l'hôpital de Melen
Une journée assez chargée pour l’envoyée spéciale du maire de la commune de Libreville, la Directrice Générale en charge de la Santé (DGS), Gessyska Mengue M’Ella Ekogha qui a conduite, lundi 31 août 2020, une forte délégation à la prison centrale et à l’hôpital de Melen. Objectif, offrir des kits alimentaires et vestimentaires à cette frange de la population carcérale et celle des maladies mentales.
Ce geste initié par le maire de la commune de Libreville, Léandre Nzué, via sa Directrice Générale en charge de la Santé, Gessyska Mengue M’Ella Ekogha, avait pour but de donner du sourir aux prisonniers de la maison carcérale et des malades mentaux de la gériatrie de l’hôpital de Melen en cette période de pandémie de la Covid-19.
Pour le compte de la prison centrale de Libreville, le commandant en chef de la garde pénitentiaire, Jean Germain Effayong Onong, a réceptionné, le don composé essentiellement des produits de première nécessité, des kits hygiéniques et des vêtements destinés aux personnes économiquement faibles, en détention.
«La remise de ce don à la prison centrale de Libreville vient à point nommé. Il entre dans le cadre de l’appel à la solidarité lancé par les plus hautes autorités du pays, en tête desquelles, le président de la République, Ali Bongo Ondimba», a indiqué, le patron de la garde pénitentiaire à la prison centrale de Libreville, lors de la réception des kits mis à disposition par la mairie de Libreville.
La gériatrie de l’hôpital de Melen, représentée par le Directeur du centre de santé mentale (DCSM), Thierry Bayito Mokoko, a marqué, son enthousiaste vis-à-vis de ce geste de cœur fait par le maire de Libreville. «Nous saluons l’initiative du maire de la commune de Libreville, Monsieur Léandre Nzué pour l’accompagnement aux structures comme la nôtre, dans le cadre de la lutte contre la propagation du Covid-19», a-t-il lancé.
Solignons au passage que le Centre SOS Mwanas et la Maison de l’Espérance n’ont pas été épargnés.
Aimé Serge Boulingui