Les révélations sur Jean Ping : qui est-il ? Quel rôle avait-il joué en 2009 ?Est-ce la malédiction qui le poursuit ? Est-il maudit ?
Libreville,( agence de presse la plume de l’info.com)-Tout commence après la mort d’Omar Bongo Ondimba le 8 juin 2009. Pendant que la famille Bongo s’apprêtait à ensevelir l’ancien Président de la République Omar Bongo Ondimba à Franceville dans la province du Haut-Ogooué, Jean Ping va passer un coup de fil à l’homme d’État Pierre MAMBOUNDOU, pour lui dire qu’il souhaiterait le rencontrer après l’enterrement de son beau-père Omar Bongo. Et Pierre MAMBOUNDOU lui posera la question de savoir « tu veux me rencontrer en qualité de qui ? Jean Ping répondit, en qualité de président de la Commission de l’Union Africaine. Le leader de l’UPG accepta.
Une fois arrivé au siège de l’Union du peuple Gabonais (UPG), à Awendje dans le quatrième arrondissement de Libreville, le leader charismatique lui reposera la même question celle de savoir : tu es venu me voir en qualité de qui ? Ping répondit en ma qualité de président de la Commission de l’Union Africaine. Alors, Pierre MAMBOUNDOU lui dira « nous te coutons». Ne sachant pas comment si prendre face une forte personnalité qu’est Pierre MAMBOUNDOU qui dégageait adouber d’une grande influence au point de l’avoir totalement tétanisé et engloutie.
C’est en ce moment que Jean Ping va brandir les menaces, en lui disant que « tu gagneras cette élection présidentielle. Mais les pédégistes voleront ta victoire, et si tu essaies de faire la guerre, ce ne pas le gouvernement Gabonais qui t’arrêtera, mais je t’enverrai les soldats de l’Union Africaine pour t’arrêter ». Il ne va pas s’arrêter là, par manque d’arguments, Jean Ping couvert de transpiration, et de la peur, trappe la main sur la table, et le Président Pierre MAMBOUNDOU va immédiatement le gronder comme un enfant et l’exiger de retirer ce qu’il venait faire.
Pierre MAMBOUNDOU lui traitera par la suite de vermine. Aussitôt, Jean Ping va présenter ses excuses au Président Pierre MAMBOUNDOU. Et, il sera chassé comme un “chien mouillé” et “chiffonné”. Ping sortait de la salle tête basse et la queue entre les chambes. Pierre MAMBOUNDOU lui dira d’aller menacer les pédégistes comme lui qui s’apprêtent à voler sa victoire.
Les Saintes Écritures nous enseigne que c’est lui qui sème mal, récolte la tempête. Jean Ping avait semé en 2009 et il avait récolté les fruits de ses péchés, notamment sur le massacre des gabonais et le passage en force d’Ali Ben Bongo Ondimba qu’il avait favorisé. Cependant, l’ancien président de la Commission de l’Union Africaine avait tout fait pour que Pierre MAMBOUNDOU ne devient pas Président de la République en 2009 en remportant largement l’élection présidentielle avec plus de 51% des suffrages, et Jean Claude André Mba Obame qui était sorti deuxième avait obtenu seulement 29% des suffrages. Ali Ben Bongo Ondimba quant à lui était sorti troisième avec 28% des suffrages, sur une dizaine des candidats tous pour la plupart étaient composés des pédégistes affectés dans l’opposition. Ces malédictions qui hantent Jean Ping et qui lui collent à la peau, le poursuivent jusqu’à la moelle épinière.
Jean Ping avait placé son beau frère Ali Bongo Ondimba de force avec le soutien de l’armée Gabonaise, sur un fauteuil qui n’avait pas mérité, c’est une malédiction. Usurper le pouvoir du peuple qui avait librement confié leurs suffrages au candidat de l’Alliance Pour le Changement et la Restauration (ACR), Pierre MAMBOUNDOU, ne peut qu’apporter à Jean Ping de la poisse. Le seul et l’unique homme d’État Pierre MAMBOUNDOU qui avait battu à plat coutume le PDG à toutes les élections auxquelles il avait participé, lui et son parti.
Celui qu’on avait cru être le président de la Commission de l’Union Africaine n’était tout autre qu’un un pédégiste et un véritable démon en personne. Un pédégiste déguisé en président de la Commission de l’Union Africaine qui avait atterri au siège de l’UPG d’awendjé pour menacer le candidat Pierre MAMBOUNDOU à l’élection présidentielle du 30 Août 2009.
Ce sadique chinois appelé Jean Ping est en train de payer pour sa participation frauduleuse à la fraude électorale, qui avait endeuillé des nombreuses familles gabonaises en 2009, dont il avait empêché le Président élu par les gabonais Pierre MAMBOUNDOU à diriger le Gabon. Si Pierre MAMBOUNDOU avait été déclaré en respectant les résultats des urnes, élu Président de la République, ce grand homme d’État serait encore en vie.
Après avoir signé les accords dans l’ombre entre Ali Ben Bongo Ondimba et son frère pédégiste affecté dans l’opposition, ce dernier avait joué des troubles faites pour faciliter le passage en force d’Ali Ben Bongo Ondimba qui était sorti troisième à l’élection présidentielle de 2009 avec un score de 28% des suffrages.
Jean Ping qui s’était servi du pays pendant plusieurs décennies pour s’enrichir vachement, se moque éperdument du peuple gabonais. Mais Dieu ne vous fera pas de cadeaux cette fois-ci. Ceux qui avaient placé Ali Ben Bongo Ondimba au pouvoir en 2009, il y a Jean ping et la bande de Guy Nzouba Ndama.
Que reproche-t-il maintenant Ali Bongo Ondimba, lui, Jean Ping, qui n’avait pas respecté le choix du peuple, qui avait volontairement et consciencieusement placé son beau frère à la tête du Gabon sans pourtant se soucier du peuple gabonais qui avait élu Pierre MAMBOUNDOU Président de la République ? Que peut-on attendre de tous ces pédégistes affectés dans les rangs de l’opposition pour semer les doubles, afin de pérenniser leur régime PDG pour la sauvegarde de leurs intérêts personnels ?
