Libreville,( agence de presse la plume de l’info.com)-La Présidente du conseil d’administration de l’agence nationale des bourses du Gabon (ANBG), Amissa Briana Bongo Ondimba épouse Ambouroue Rogombe a présidé les travaux de la 2ème session ordinaire du conseil d’administration de l’année 2022 qui s’est tenu, ce vendredi 16 décembre 2022 à leur siège social de Libreville.
L’objectif de cette réunion était de procéder à l’analyse du projet de budget 2023, qui a été présenté par la directrice générale de l’ANBG. Il était question d’examiner l’ensemble des ressources et dépenses de l’agence. Cette exercice a permis de cerner le niveau de dépenses à venir de l’agence.
Le budget de l’ANBG pour 2023 a été examiné par l’ensemble des représentants des administrations. « Un niveau qui s’accroît au fil des années et qui doit nous interpeller afin de prendre des dispositions nécessaires pour le stabiliser et de le réduire progressivement dans le but d’épargner notre système de bourses d’une éventuelle débâcle, comme ce fut le cas dans d’autres pays », a déclaré, Amissa Briana Bongo Ondimba épouse Ambouroue Rogombe, PCA de l’ANBG.
« Nous devons garder à l’esprit l’idée de la pérennisation de la politique de gestion de bourses d’études qui nous a été confiée par les plus hautes autorités de l’État en tête desquelles Monsieur le Président de la République, Chef de l’État, Son excellence Ali Bongo Ondimba à qui, je rends un vibrant hommage pour cette marque de confiance », a-t-elle ajouté.
Ces dispositions ont été traduites en recommandation au cours du conseil d’administration, et elles seront soumises aux différentes hiérarchies afin que des décisions fortes et courageuses soient prises.
« Nous avons à cœur de sensibiliser les parents et les étudiants doivent choisir les établissements publics qui délivrent les vrais diplômes reconnus. Nous recommandons premièrement les établissements publics pour la fiabilité des diplômes afin que les étudiants trouvent du travail à la fin de leur cycle pour ne pas chômer », a martelé Mambari Pinze Sandra Flore, directrice générale de l’ANBG.