Libreville, (agence de presse la plume de l’info.com )-Au cœur du Gabon, la Société d’Exploitation du Transgabonais (SETRAG) est le pilier essentiel du transport ferroviaire, reliant les régions, stimulant le commerce et l’économie nationale. Cependant, une ombre s’abat sur cette entreprise alors que des allégations de népotisme, d’exploitation et de déséquilibre économique émergent, laissant les citoyens gabonais dans un état d’indignation et de frustration.
Le centre de la tempête est occupé par Neila BECHT et son époux, accompagnés d’un groupe restreint d’expatriés français, qui occupent les postes de direction au sein de SETRAG. Cette intrusion étrangère dans les rouages stratégiques de l’entreprise a suscité des interrogations légitimes quant aux raisons pour lesquelles les Gabonais sont systématiquement exclus de ces postes clés. Les Gabonais se demandent : pourquoi ces postes stratégiques sont-ils réservés aux expatriés et non aux nationaux, malgré leur qualification et leur compétence ?
La nomination de Neila BECHT, en particulier, a déclenché une vague de critiques et d’interrogations. Des sources internes révèlent que des doutes subsistent quant à ses qualifications pour occuper un tel rôle stratégique. Les employés locaux se sentent marginalisés, dépossédés de leur propre maison professionnelle. Des allégations de favoritisme et de sabotage envers les travailleurs gabonais ont également émergé, révélant un environnement de travail toxique, loin des principes d’équité et de collaboration.
Les révélations sur les salaires mensuels exorbitants de Neila BECHT et de son époux, respectivement 7 et 10 millions de francs CFA, ont soulevé des questions cruciales sur l’équité salariale au sein de l’entreprise. De plus, leur train de vie somptueux, incluant la location d’une maison pour 800 000 francs CFA, contraste vivement avec les conditions de vie de la population locale, ajoutant un autre niveau d’injustice ressentie par les employés de SETRAG.
Les Gabonais remettent également en question la faible participation de l’État gabonais dans les bénéfices de SETRAG, plafonnant à seulement 9 %. Alors que l’entreprise génère des profits substantiels sur le sol gabonais, cette faible contribution de l’État semble incompréhensible et injuste aux yeux de nombreux citoyens.
Il est crucial que le ministère du Travail intervienne de manière décisive pour mettre fin à cette situation, en prenant des mesures efficaces pour protéger les intérêts des nationaux qui sont lésés.
Cette pratique de népotisme mine non seulement la crédibilité de l’entreprise, mais porte également préjudice aux employés qui méritent une juste reconnaissance de leurs compétences.
Il est donc primordial que le ministère du Travail prenne des mesures efficaces pour mettre fin au contrat des expatriés.
Enfin, il est important d’encourager la participation et la mobilisation citoyenne pour dénoncer ces pratiques scandaleuses. Les travailleurs et les citoyens gabonais doivent se lever ensemble pour exiger des réformes au sein de la SETRAG, et faire entendre leur voix en faveur de l’équité, de la transparence et du respect des droits des travailleurs.
Comment est-il possible que seuls les étrangers occupent des postes de responsabilité et non les nationaux, pour donner les exemples voici :
Secrétaire général de SETRAG, Jérôme CANTIANT
Directeur Financière SETRAG, Valérie DELAUNAY
Directeur des Achats SETRAG, Régis MARTINEZ
Acheteur Sénior SETRAG/ERAMET : Neila BECHT
Directeur de Gestion des Circulations : Quentin Charleska BECHT
Directeur Développement Durable : Maria Aparacida RIBEIRO DA SILVA.
Il faut que les plus hautes autorités du pays prennent leur responsabilité sur l’employabilite des jeunes. Le président de la président de la République, le général de Brigade Brice Clotaire Oligui Nguema a instruit aux entreprises de majorer des employés gabonais.
Affaire à suivre...
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