Libreville, (agence de presse la plume de l’info.com)- Le vice-président de l’Union pour la République chargé de missions et de relations avec les mouvements et associations des jeunes (UPR), Jeff Gaël Apanga, a rencontré, dimanche, les militants et sympathisants de ce parti, au quartier Beau- séjour, dans le 5eme arrondissement de la commune de Libreville. Le contenu de la rencontre s’articulait autour des recommandations du dialogue national inclusif (DNI) et du référendum à venir.
Cet échange a permis aux militants d’être éclairés sur l’ensemble des thématiques abordées. Le Vice Président de l’UPR a expliqué les véritables enjeux du référendum aux Gabonais, mais surtout le bien-fondé de voter « oui » selon lui, pour doter le pays, d’une bonne Constitution qui répondra aux aspirations et aux attentes des Gabonais.
L’Union Pour la République, ‘allié numéro un du CTRI s’engage à aller partout sur toute l’étendue du territoire national pour donner la bonne information au peuple quant au vote du oui au référendum.
«Tout comme moi, vous savez qu’il y a deux postures qui se dessinent au sein de notre pays; une qui appelle à voter pour le oui et celle qui appelle à voter pour le non. Et d’ailleurs, ceux qui appellent à voter pour le non reprochent à ceux qui appellent à voter pour le oui de ne pas avoir la quintessence du contenu de la Constitution», a déclaré Jeff Gaël Apanga vice-président de l’UPR.
Le vice-président de l’UPR a souligné qu’il était question de préciser les choses pour éclairer la lanterne de nos compatriotes.
«Dans un premier temps, nous avons rappelé que le référendum est l’émanation de la volonté du peuple qui s’est majoritairement exprimé. 38000 contributions, je le rappelle du dialogue national Inclusif étaient l’avant rencontre au référendum à venir, à côté de ça nous avons un Comité pour la Transition et la Restauration des Institutions( CTRI), qui s’est engagé publiquement à respecter la volonté du peuple, mieux, à la traduire en loi», a précisé le vice-président de l’UPR Jeff Gaël Apanga, avant d’ajouté que fort de ce tout cela, « nous estimons qu’il n’y avait pas de raison de voter autrement que le oui lors du référendum à venir ».