Transition Politique: la volonté des hommes ou celle de Dieu, les raisons de l’échec !

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Libreville,(agence de presse la plume de l’info.com)-Selon plusieurs sources, les raisons de l’échec de la transition voulu par les hommes entre le camp d’Ali Bongo Ondimba et celui de Ping Jean se sont soldés par une intervention de la première dame Sylvia Bongo Ondimba l’épouse du Chef de l’État Gabonais, qui a rejeté systématiquement la proposition d’une transition politique dirigée par Jean Ping pour une période de 4 à 6 mois.

Les raisons qui ont amené Sylvia Bongo Ondimba d’agir de la sorte, est que son époux Ali Bongo Ondimba ne devrait plus être candidat à l’élection présidentielle organisée par le Président de la transition. La première dame a proposé par la suite à Jean Ping à travers ces émissaires qu’elle a choisi pour accompagner le Chef de l’État Ali Bongo Ondimba à Paris, en disant à Jean Ping d’accepter d’être indemniser à hauteur de plusieurs centaines de milliards de francs CFA, et il pourra vivre librement en France et aller partout où il voudra.

Les mêmes sources affirment que Jean Ping a réfuté du revers de la main, les propositions de Sylvia Bongo Ondimba par l’autrichement de ces émissaires qui discutaient avec ceux d’Ali Bongo Ondimba. Il dira que « je vais réfléchir à la proposition d’être Président de la transition pendant cette période de 4 à 6 mois ».



D’après ces sources, le refus catégorique de Jean Ping d’être indemnisé a fait rentrer la première dame du Gabon Sylvia Bongo Ondimba dans une colère noire. Elle va de suite appeler la Présidente de la cour constitutionnelle et le Président de l’assemblée nationale d’arrêter ce qu’ils manigançaient dans l’ombre.

En les menaçant de les faires arrêtés, ainsi que leurs proches pour corruption et bien d’autres tels que l’établissement Berth & Jean qui perçoit plusieurs milliards de francs CFA. La présidente de la cour constitutionnelle a exécuté les ordres de la première dame Sylvia Bongo Ondimba qu’on appelle affectueusement la « main noire », en appelant le Président du Centre Gabonais des Élections (CGE) et le ministre de l’intérieur Lambert Noël Matha, qui ont décidé de convoquer une plénière qui a fixé les dates des élections générales.



A en croire ces mêmes sources, les négociations et les arrangements ont été chapeautés par le Quais d’Orsay. Et c’est l’un des éléments du ministère de l’Europe et des affaires étrangères Français qui est venu dire à Jean Ping que l’option de la transition est actée, et que tu sera le Président.

De même, quelques hieraques du PDG discutaient avec Jean Pierre Lemboumba Lepando, et le collège de la transition devrait avoir à sa tête comme Président Jean Ping, et un vice-Président issu de la famille Bongo puis un premier ministre.



Certaines sources soulignent que Ali Bongo Ondimba et Jean Ping ne se sont pas rencontrés à Paris. Sauf les différents émissaires de deux camps qui discutaient ensemble et rendaient comptent à leurs chefs respectifs.

La première dame va demander à son époux Ali Bongo Ondimba de regagner Libreville rapidement après le refus de Jean Ping d’être indemnisé pour qu’il se retire de la scène politique.



La cour constitutionnelle et le gouvernement étaient déjà prêts pour la modification des certaines dispositions pour la transition politique afin de déclarer un cas de force majeur, pour empêcher la candidature d’Ali Bongo Ondimba, qui n’est plus apte à diriger le Gabon. Ces décisions ont été prises d’un commun accord avec les autorités françaises.



La première dame a menacé de remettre en cause le mandat de la Présidente de la cour constitutionnelle si elle n’engageait pas le processus électoral. Les mêmes sources indiquent que Sylvia Bongo Ondimba serait prête à repousser les dates des élections générales pour organiser un congrès d’investiture d’Ali Bongo Ondimba.

«Vous avez refusé que mon fils soit candidat. Ali Bongo Ondimba sera reconduit comme candidat peu importe son état de santé ». Aurait-elle avancé dans une colère très sombre.

Le général Jean Boniface Asselé trouvera-t-il un successeur d’Ali Bongo Ondimba, lui qui se dit être le chef de la famille, a-t-il déjà contacté Junior Bongo Ondimba pour pouvoir sauver la famille ?

Qui de la volonté des hommes ou de Dieu arrivera au trône du Gabon, un pays hautement mystique ?

Une source religieuse, a confirmé que les décisions ou les arrangements des hommes se solderont toujours par les échecs.



Sylvia Bongo Ondimba vient de bouleverser les plans d’Alain Claude Billie By-Nze qui pensait bien faire d’accepter que Jean Ping dévient le Président de la transition pour une durée de 4 à 6 mois sans pourtant qu’il ne soit candidat.

En acceptant cela, Billie By- Nze Alain Claude se voyait candidat en souhaitant qu’il aura le soutien du parti démocratique Gabonais (PDG), en le désignant. Or, la première dame avait les yeux grandement ouverts et contrôlait tout, en faisant échouer les plans du fils de Makokou Alain Claude Billie By-Nze qui est entré dans une colère noire contre Sylvia Bongo Ondimba, qui venait de déjouer saboté ces plans.

Alors qu’Alain Claude Billie By-Nze avait dit à l’un des conseillers à l’ambassade de France au Gabon, que le gouvernement est d’accord pour une transition politique dirigée par Jean Ping, mais à la seule condition qu’il ne se présente pas comme candidat à cette élection présidentielle. Ce conseiller avait transmis le message d’Alain Claude Billie By-Nze.

Des sources bien informées rapportent que Billie By-Nze avait déjà bien ficelé ces plans pour devenir le candidat du PDG après la durée de la transition politique, mais Sylvia Bongo Ondimba vient de déjouer ces rêves.

La présidente de la cour constitutionnelle et Alain Claude Billie By-Nze sont actuellement surveillés de tout mouvement par les éléments de la première dame.



En paraphrasant le prophète Béni Ngoua Mbina qui avait dit lors de sa conférence presse du mercredi 21 juin, que tous les plans des hommes ne parviendront pas, mais le seul plan qui parviendra est le plan de Dieu.

Plusieurs serviteurs de Dieu savaient que la transition voulue par les hommes présageait un échec, tout était prévisible. Rien n’est peut se faire maintenant sans la volonté de Dieu qui dirige le Gabon.

« Si les hommes politiques de ce pays pensent contraindre Dieu qu’ils se trompent ». Et qu’ils acceptent sa décision pour ramener le Gabon sur les rails. La décision finale revient à Dieu. Et tout pouvoir vient de lui.


Est-ce que le prophète Béni Ngoua Mbina n’avait-il pas eu raison de dire que les plans des hommes ne parviendront pas, mais le plan de Dieu parviendra ?

Voici en substance les raisons de l’échec de la transition politique au Gabon.

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